Quoi de miux que le silence d'une salle de classe vide, qui plus est, une salle reservée aux arts? Rien, pour Hiwatari satoshi, élève en Classe C, rien n'était mieux que ça. Il venait d'arriver dans cette école, avait la connaissance de deux élève, Makie et Kôtaro, s'était installé dans sa chambre qu'il allait partager avec l'un des autres élève, dont il avait déjà oublié le nom. Portant son matériel, qu'il avait tenu à ammener avec lui à Mix'City, il avait entreprit de trouver la salle d'Art. Il se tenait devant la porte. Doucement il l'ouvrit, faisant glisser la porte coulissante, et entra dans la salle. il y avait deux peronne, il leur dit bonjour poliment et s'intalla à quelques pasde la jeune rouquine. Il posa ses affaires: installa son chevalait, posa une toile dessus, sur la table posa une petite trousse de lin qui contenait ses pinceaux, et une autre, quicontenait sa peinture. D'autres travaux était disposés dans la salle, certain inachevé d'autre en exposition, des niveaux artistiques différents, mais tout aussi agréables à regarder. Il decrocha son regard des murs de la salle et retourna près de ses affaire. Il ouvrit la trousse qui contenait sa peinture en sorti les couleurs dont il aurait besoin, puis ouvrit la trousse contenant ses pinceaux. Il la deplia, car elle était pliée en trois morceaux: elle contenait des pinceaux sculté à la main par sa defunte mère, il semblait sculté dans un métal précieux, mais c'était une peinture couleur or. N'empeche Hiwatri aimait ses pinceaux, et ne partait jamais sans. Il adorait peindre depuis tout petit...Son père adoptif lui avait interdit de peindre, il retrouvait un plaisir, qu'ici personne ne lui interdirait. Il se souvenait que dans sa famille, la famille Hikari, tout le monde aimait peindre, et certains étaient de grand artiste, comm sa mère...
Il secoua la tête, elle n'était plus là, pas la peine de faire resurgir le passé, c'était inutile.
Il prit un pinceau, et le trempa dans la peinture blanche qu'il avait déposé sur la palette qu'il tenait de la main gauche. Il peignait par petites couches ou par accoup, personne ne pouvait dire ce qu'il peignait avant que le tableau ne soit acevé...leblanc sur d blanc, c'était quasiment insvisible. Il prit ensuite du bleu, qu'il mis sur sa palette, fit un mélnge pour faire du bleu ciel, et reprit sa toila là où il l'avait intérrompue.
Il ne se préoccpait pasdes deux autres personne, un grand brun d'environ 17ans, et une fille, plus jeune, 14 ou 15ans, qui discutait à quelques pas de lui.